Et le Rêve se Réalise…

Chacun d’entre nous a une histoire,

a « son histoire ».

Voici la mienne:
Si je vous raconte mon parcours vous allez vous demander quel lien il y a entre tout ce que j’ai fait et ce voyage au long cours.

VIVRE AVEC PASSION

D’un petit agent immobilier qui tenait une agence à Saint-Jean-de-Luz et qui s’ennuyait grave à l’achat de forêts on est toujours dans l’immobilier. Mais je continuais à m’ennuyer. En parcourant mes bois, où l’on ne rencontre pas souvent quelqu’un, j’ai commencé à m’intéresser aux ressources naturelles et à enfin me passionner.

CREER
J’ai eu l’idée de créer des produits naturels en utilisant une seule essence forestière, le bois de cèdre, et en devenant pionnier en Europe avec Haromite un antimite naturel.

ECRIRE
Une amie m’a poussé il y a quelques années à écrire et je l’en remercie. Écrire est en fait la vraie passion qui me fait vibrer.
Mon premier livre concerne le développement personnel, fruit de ma quête permanente de recherche d’idées.
J’ai poursuivi l’intérêt que je portais aux ressources naturelles en écrivant plusieurs livres sur la forêt, et l’utilisation du bois pour la construction et le bien-être.

Alors pourquoi ce voyage?

VOYAGER POUR DES RAISONS PROFESSIONNELLES VERSUS
VOYAGER POUR LE PLAISIR
Pour vendre mes produits, j’ai beaucoup voyagé, mais cela n’a rien à voir avec le voyage en général et en particulier celui que j’ai entrepris.
L’envie de voyager me tiraille parce que ma famille a compté de nombreux officiers de marine marchande, de médecins militaires qui me racontaient leur vie dans les « colonies », les traversées de la France vers l’Afrique et leur retour, à l’époque cela représentait plusieurs semaines. À la maison les albums étaient remplis de photos de leur vie africaine. Mon grand-père maternel a été Maire de Tananarive en 1896.

Et moi, je suis né après tous ces voyages sans en être, je ne cessais de penser: à quand mon tour?
Adolescent je passais mes journées sur le port de cette merveilleuse ville du Pays Basque, St Jean de Luz-Ciboure à regarder les thoniers, le port était le 1er port thonier de France, et les sardiniers partir ou revenir de Dakar où des conserveries avaient été construites préparant ainsi le déclin de la pêche locale.

J’allais au bout du quai formant la « passe », côté luzien, les voir entrer et sortir.
Je parcourais la plage à la recherche d’épaves pour recueillir des bouts de filets, des flotteurs en verre épais, transparent ou foncé, des bouchons en liège, des bois flottés, de bouées en liège, des pierres curieuses, pour les ramener dans ma chambre et continuer à rêver du grand large, de l’Aventure.

Les petits voiliers, suspendus au milieu de l’allée de l’Église Saint Jean Baptiste, vous savez, celle où Louis XIV s’est marié avec l’Infante d’Espagne provoquant des festivités dignes de cette époque et qui faisaient plus pour la grandeur de la France que les frasques grotesques de nos dirigeants républicains actuels, ex-voto offerts à l’église lorsqu’un bateau partait en campagne; le rêve de voyage était à son comble.

VIVRE ENFIN MON RÊVE

Rue Lohobiague, Léremboure, corsaires dont on nous racontait les aventures, rue de la baleine, car l’une d’elles est venue s’échouer à son entrée, chaque pas en ville me ramenait à l’envie de départ. Et puis, la vie a fait que je me suis orienté vers d’autres aventures pour enfin me conduire à mon rêve, enfants vivant leur vie, femme quittée…
Peut-être fallait-il en passer par là. Pour moi, ce voyage est une suite logique à ma vie.
Il est aussi le vôtre. Je le partage et vous propose de me suivre ou de m’accompagner comme plusieurs personnes me l’ont proposé.

Bruno Minier

Ce qui m’anime vous entraîne.

bruno@addiction-voyage.fr

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