Un homme d’idées, pas un homme d’affaires…
Je m’appelle Bruno Minier et mon parcours est celui d’un iconoclaste .
Mon fil de vie : ne jamais faire ce que les autres font !
Ma vie professionnelle a vraiment commencé, à la trentaine, par une reprise d’études : IPC Bois Bordeaux (Institut de promotion commerciale du bois). Et là où mes compagnons se faisaient embaucher dans des scieries et des exploitations forestières, j’ai choisi d’acheter mes propres parcelles forestières pour me faire la main sur le tas.
L’ENVIE D’ECRIRE
C’est à cette période que s’est forgée l’idée d’écrire un livre sur les ressources de la forêt, car écrire était plus important pour moi que d’exploiter du bois, le vendre, le livrer, etc. Un peu rébarbatif et une lassitude s’installe vite. La routine, toujours la routine, rongeuse d’énergie et peu stimulante.
En fait, ce que j’avais vraiment envie de faire s’était créé, et, pour être honnête avec moi-même, je dois dire que mon expérience dans le bois a été déterminante.
J’ai ainsi créé le premier antimite en bois de cèdre sous la marque Haromite. Vendu pendant dix-huit ans dans dix pays, présent dans toutes les grandes surfaces et sans discontinuer pendant quinze ans en Suisse dans les magasins Migros sous la marque Crocmite.
Juste après, l’envie d’écrire un livre de développement personnel, 58 secrets pour trouver la bonne idée, m’a accaparée pendant près d’une année et donnée une autre idée de produit en bois de cèdre ; idée qui m’aurait été bien utile lorsque je commercialisais l’antimite naturel : un gobelet utilisant pour le soin corporel les sept vertus du bois de cèdre, vous savez, ce bois que l’on nomme aussi Déodara c’est à dire « Voué à Dieu » .Tout un programme !!!
Pendant tout ce temps, comment voyager ? À part pour développer les ventes à l’étranger, où l’on est tout à son affaire, sans prendre le temps de visiter.
Voyager au long cours est une envie qui me turlupine depuis mon adolescence. C’est infiniment plus enrichissant que de faire des randonnées et de rentrer chez soi. Bon pour la santé et le moral, marcher permet de développer et de trouver des idées, ce qui n’est pas si mal, mais, en fin de compte, c’est toujours la même chose et il en ressort une certaine frustration.
Encore fallait-il trouver une raison d’accomplir un très long voyage.

Et l’idée a surgi doucement
en pensant aux dernières élections européennes et au désintérêt qui a atteint nos concitoyens. On a un peu l’impression que, dans leur tête, l’Europe est la cause des crises financières et ne sert pas à grand-chose. Les jeunes générations ont oublié pourquoi l’Europe a été créée, ou feignent de l’ignorer, et pire, oublié aussi le développement qu’elle a apporté à un nombre impressionnant de pays, leur permettant de s’ouvrir aux autres pays d’Europe et du Monde.
J’ai donc cherché comment apporter mon grain de sel, car en ce moment l’instinct d’un repli sur soi semble très à la mode.
C’est ainsi qu’est née l’idée de réaliser à pied, en vélo, en train, en autobus, en tramway, en cabotage… le contour de l’Europe en partant de Belgique pour y revenir, en passant par le Bosphore, les Carpates, la Scandinavie.
Pour créer un lien entre les peuples ou, plutôt, raviver ce lien qui semble quelque peu oublié.
L’idée de voyager me titillait depuis de nombreuses années avec une passion, l’eau vive. Pendant quarante ans j’ai vécu au bord de l’Océan à Saint-Jean-de-Luz, Saint Mandrier et Biarritz aussi, vivre à l’intérieur des terres a toujours ravivé chez moi un manque.
Comblé en partie lorsque j’ai aménagé des parcelles pour la pêche et les loisirs sur les rives de rivières poissonneuses comme, par deux fois au bord du Clain, affluent de la Vienne, près de Poitiers, de la Vienne à Limoges et Dangé Saint Romain, de la Charente à Jarnac.
Avec l’aménagement de ces multiples lotissements de loisirs situés dans des départements éloignés j’avais l’impression de voyager.
Mais, le summum a été sans conteste sur les rives de la Dordogne, près de Beaulieu sur Dordogne, un lieu magique, plein de charme, aux eaux transparentes où l’on voyait aussi bien l’Ombre, poisson emblématique de cette merveilleuse rivière, que des canoës glissant silencieusement sur l’eau. Bord de rivière propice également à la méditation. Tout cela me rapprochait de mon besoin de mer, les vagues et les tempêtes en moins !
Avec le Voyage aux Contours de l’Europe je vais pouvoir assouvir ma passion de flâner sur les quais, de humer l’odeur des chalutiers déversant leur précieuse cargaison, de marcher pendant des heures sur le sable et dans l’eau de mer, d’entendre le cri des mouettes et des goélands à m’en soûler … Ce voyage va être un régal et je suis heureux que vous acceptiez de le partager avec moi.
bruno@addiction-voyage.fr
Minä joka kirjoitin näin:Anonyymi sanoi…Alkaisin kokeilemaan hiuksille pelkkää vesipesua. Miltä kuulostaisi. Toimisikohan?Minulla ei ole rasvottuvat hiukset eikä värjätyt. Lupaan kertoa kuukauden päästä tuloksen. Ihmetyttää mitä mies sanoo, mutteiha sille tartte sanoo mitää, ei se tiiä peseekö samppoolla vaiko ei. ;)joo ja pieni lisäys tuohon: En käytä hiuslakkaa tai muita hiustenmuotoilutuotteita.